« Le fardeau de la haine est plus lourd que celui du vivre ensemble. La haine est toxique et vous ronge comme le cancer ! » Leymah Gbowee, prix Nobel de la paix en 2011

La prix Nobel de la paix 2011 a fait œuvrer ensemble des femmes d’origines religieuses différentes : « Nous nous sommes concentrées non pas sur ce qui nous divisait, mais sur nos points communs ! »

« Ce que représente pour moi ce prix Nobel ? C’est que le monde vous reconnaît si vous donnez le meilleur de vous-même ! » Leymah Gbowee, prix Nobel de la paix en 2011

Il venait de s’établir en Suisse après avoir émigré depuis l’Italie : lorsque son épouse est victime d’un accident cérébral, Francesco tombe à genoux et prie Dieu…

« J’aime la vie ! Chaque matin, je remercie Dieu d’être en vie. Mais pour moi, mourir, c’est rejoindre Jésus. J’aimerais mourir dans la joie. » Maurice de Larroche, nonagénaire sans peur

Installé en Suisse depuis les années 50, Francesco relate un épisode de son enfance : c’est la fin de la 2e Guerre mondiale, deux soldats allemands entrent dans sa maison…

« Dieu n’est pas un comptable ! Ce n’est pas les prières qu’on lui adresse qui achètent la guérison. Je ne le prends pas pour un marchand mais je lui donne toute ma confiance. » Nicolle Carré, psychanalyste

La psychanalyste Nicolle Carré commente la célèbre phrase du Christ : « Si vous ne redevenez pas comme des enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des cieux ».

Les malades sont parfois perçus comme n’étant plus dignes d’intérêt. La psychanalyste Nicolle Carré en sait quelque chose, elle qui s’est longuement battue contre une leucémie.

« J’ai écrit depuis toujours. Des poèmes quand j’étais petite, puis des lettres à Dieu, qui me faisaient du bien ! » Viviane Maeder, auteur de romans et aumônière pour les personnes en marge de la société